« Daigaku »
signifie « université » et « Imo » signifie
« tubercule ». Apparemment ces gâteaux étaient vendus près des universités
et c’est pourquoi on les appelle « Daigaku-Imos ».
Pour
cette préparation on utilise des patates douces. Elles sont caramélisées avec du sucre mélangé avec un peu de
sauce soja. Cela leur donne un goût sucré-salé très apprécié.
Les patates douces japonaises sont plus
sucrées et plus sèches que celles que l’on trouve en France. Malgré une petite différence
de texture, je suis contente de mes Daigaku-Imos françaises qui me rappellent mon
enfance.
Traditionnellement
on cuit les patates douces dans l'huile, mais je les cuis
au four pour éliminer la matière grasse. Séchez-les sur un papier de
cuisson après les avoir caramélisées pour qu’elles ne se collent pas.
J’aime
bien les manger tièdes mais elles sont toutes aussi bonnes froides.
Pour
2 parts
200 g
de patates douces
2 c.
à s. d’huile végétale
30 g
de sucre
1 c.
à c de sauce soja
2 c.
à s d’eau
1 c.
à s de sésame noir
Préchauffez
le four à 200 °C.
Lavez les patates douces et coupez-les (Photo 1). Mettez-les dans un
bol, puis mélangez avec de l’huile (Photo 2).
1 |
2 |
Sur
une plaque à four, mettez les patates douces (Photo 3) et faites-les cuire au
four pendant 25 minutes à 200 °C en les retournant à la mi-cuisson (Photo 4).
3 |
4 |
Dans
une poêle, mettez le mélange de sucre et de sauce soja (Photo 5). Arrosez d’eau et faites cuire à feu vif jusqu’ à ce que le mélange soit caramélisé (Photo 6). Eteigniez
le feu.
5 |
6 |
Versez
les patates douces dans la poêle et mélangez-les (Photo 7). Posez-les ensuite sur un papier de cuisson et parsemez-les de graines de sésame
noir. Laissez-les jusqu’à ce que le caramel soit sec (Photo 8).
7 |
8 |
Miam miam ça a l'air aussi simple que délicieux, j'essaierai bien pour un gouter!
RépondreSupprimerMerci Madeleine à bicyclette !
RépondreSupprimer